LeLoup de Wall Street. Louer Ă  3,99 € PrĂ©sentation Configuration requise Section liĂ©e. Disponible sur. HoloLens PC Appareil mobile Xbox 360 Bande-annonce. Description. L’histoire
01 Compositeurs Joseph Zawinul - Larry Williams - Johnny Guitar Watson - Joe Zawinul 02 Compositeurs Elmore James - Robert Leroy Johnson 03 Compositeurs Jimmy Sabater - Joe Cuba 04 Compositeurs Billy Joel 05 Auteur André Hornez - Jerry Seelen / Compositeurs Henri Betti 06 Compositeurs John Barry - Leslie Bricusse - Anthony Newley 07 Compositeurs Willie Dixon 08 Compositeurs John M. Blackburn - Karl Suessdorf - Blackburn 09 Compositeurs Chester Burnett 10 Compositeurs Jimmy Castor - John Pruitt 11 Compositeurs Trevor Horn - Malcolm McLaren - Petrus Maneli 12 Compositeurs Debora Iyall - Larry Carter - Benjamin Bossi - Frank Zincavage - Peter John Woods 13 Compositeurs Joie Calio - Phil Leavitt 14 Compositeurs Bo Diddley 15 Auteur Paul Simon / Compositeurs Paul Simon 16 Compositeurs Vince Guaraldi - Carol W. Rowe

Depuisla crise des subprimes en 2008, on pensait que les leçons avaient été tirées. Mais une nouvelle pratique financiÚre pourrait avoir des effets aussi dévastateurs. Elle porte le nom de Trading Haute Fréquence. Aujourd'hui, dans l'univers de la finance, les ordinateurs ultrarapides achetent et vendent à la vitesse de la lumiÚre. Ces opérations sont réalisées en

Etats-Unis 2013 Titre original The Wolf of Wall Street RĂ©alisateur Martin Scorsese ScĂ©nario Terence Winter, d’aprĂšs le livre de Jordan Belfort Acteurs Leonardo DiCaprio, Margot Robbie, Jonah Hill, Matthew McConaughey, Jean Dujardin, Kyle Chandler, Jon Bernthal Distribution Metropolitan DurĂ©e 3h00 Genre ComĂ©die Date de sortie 25 dĂ©cembre 2013 Globale [rating4][five-star-rating] En adaptant les mĂ©moires du trader Jordan Belfort qui a passĂ© prĂšs de deux ans en prison pour ses mĂ©faits spĂ©culatifs, Martin Scorsese dĂ©peint la montĂ©e puis la chute d’un jeune homme pressĂ© dont les actions douteuses ne sont pas sans rappeler celles d’un Gordon Gekko dans le Wall Street de Oliver Stone. Synopsis Du rĂȘve amĂ©ricain Ă  l’aviditĂ© sans scrupule du monde des affaires, Jordan Belfort, courtier en Bourse Ă  New York Ă  la fin des annĂ©es 80, va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et Ă  une vie de corruption et d’excĂšs. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succĂšs et sa fortune colossale alors qu’il avait Ă  peine plus de vingt ans ont valu Ă  Belfort le surnom de Loup de Wall Street ». L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations Ă©taient lĂ , Ă  portĂ©e de main, et les autoritĂ©s n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie Ă©tait devenue complĂštement inutile. Trop n’était jamais assez
 Les Affranchis de Wall Street Sur un script Ă©crit par Terence Winter, le scĂ©nariste des sĂ©ries The Sopranos et Boardwalk Empire, pourtant peu reconnues pour leur gaudriole, le rĂ©alisateur s’éloigne de sa noirceur habituelle avec cette variation comique des Affranchis oĂč l’on suivait Ray Liotta Ă©voluer dans le milieu de la mafia new-yorkaise. Ses gangsters sont ici remplacĂ©s par des requins de la finance qui ne se servent pas d’arme Ă  feu mais font preuve de la mĂȘme absence de morale. Le scĂ©nario adopte une construction trĂšs proche de ce prestigieux aĂźnĂ© devenu depuis un modĂšle du rĂ©cit de gangsters et ne cache pas son jumelage. Certains personnages semblant presque s’en ĂȘtre Ă©chappĂ©s pour reproduire Ă  l’identique les mĂȘmes frasques, mais avec cet Ă©tonnant dĂ©calage humoristique. Les votants des Golden Globes l’ont d’ailleurs dĂ©signĂ© comme l’une des cinq meilleures comĂ©dies de l’annĂ©e. L’énergie de la mise en scĂšne et de l’interprĂ©tation pourrait nuire Ă  la dimension dramatique des faits dĂ©crits mais n’en Ă©crase pas la mĂ©diocritĂ©. Les personnages commettent des actes antipathiques sans l’ĂȘtre forcĂ©ment complĂštement eux-mĂȘmes. Leo’s Buyers Club Martin Scorsese dirige pour la cinquiĂšme fois Leonardo di Caprio aprĂšs Gangs of New-York, Aviator, Shutter Island et Les InfiltrĂ©s dans un Ă©tonnant contre-emploi dĂ©licieusement burlesque. Il s’agit sans le moindre doute de leur collaboration la plus subtile malgrĂ© un registre de jeu Ă  la limite de l’outrance parodique. Chaque Ă©tape du rĂ©cit permet de comprendre sa dĂ©rive et son Ă©volution morale. Ses addictions aux pilules et autres drogues plus dures le maintiennent dans une Ă©nergie catastrophique pour sa santĂ© et sa libertĂ© mais crĂ©ent d’étonnants moments comiques. Le voir rentrer chez lui en voiture sous l’effet de pilules pĂ©rimĂ©es est une Ă©tonnante variation de Daniel Day-Lewis dans My left foot. Oui, il est possible de conduire une voiture de sport lorsque l’on est hĂ©miplĂ©gique ! L’épatante distribution de seconds rĂŽles est dominĂ©e par Jonah Hill alias Donnie Azoff, le premier complice de Belfort. Ce drĂŽle d’énergumĂšne affublĂ© de dents phosphorescentes Ă  faire pĂąlir de jalousie Burt Lancaster est plus irresponsable encore que son maĂźtre ou ceux qui l’ont formĂ©. En attendant de dĂ©couvrir Matthew McConaughey dans Dallas Buyers Club de Jean-Marc VallĂ©e qui devrait lui permettre d’ĂȘtre enfin nommĂ© Ă  l’Oscar du meilleur acteur, on le retrouve ici amaigri et bizarrement bronzĂ© dans les quelques minutes de prĂ©sence oĂč il initie Jordan aux secrets inavouables d’un monde sans scrupules. Leur sĂ©quence de dĂ©jeuner avec tambourinage de torse et fredonnement mystĂ©rieux est inoubliable. Kyle Chandler Friday Night Lights est l’Eliot Ness de Jordan, le seul protagoniste Ă  accepter les contraintes du monde rĂ©el avec en point d’orgue de leur relation, un duel de regards et de mots oĂč chacun tente de percer l’autre Ă  jour. Notre artiste national Jean Dujardin est un banquier suisse roublard et en attendant Monuments Men de George Clooney, sa carriĂšre outre-Atlantique dĂ©marre trĂšs bien avec un Ă©change en voix-off avec Di Caprio oĂč chacun dupe l’autre en toute connaissance de cause. Seule figure fĂ©minine rĂ©ellement marquante du film, Joanna Lumley, alias la combative Purdey de Chapeau Melon et bottes de cuir ou l’alcoolique dĂ©bridĂ©e Patsy Stone dans Absolutely Fabulous, avait rarement aussi bien filmĂ©e sur grand Ă©cran en complice d’évasion fiscale. Son Ă©change tĂ©lĂ©pathique est le moment le plus sexy d’un film riche en sĂ©quences dĂ©shabillĂ©es, une quasi premiĂšre pour le chaste cinĂ©aste. Le rĂ©alisateur Rob Reiner Des hommes d’honneur, Quand Harry rencontre Sally est le pĂšre baroque de Jordan et Jon Bernthal Shane dans The Walking Dead est un voyou tatouĂ© qui aura le malheur de croiser Donnie Azoff, dans l’un des autres grands moments du Loup de Wall Street. Wall Street, un univers impitoyable L’histoire de cette toute relative rĂ©demption peut paraĂźtre Ă©crasĂ©e par sa tonalitĂ© lĂ©gĂšre mais ce registre reflĂšte l’absence de culpabilitĂ© de cette faune. Wall Street est filmĂ© comme un asile de fous avec lancers de nains et autres dĂ©rives en tous genres, avec frasques sexuelles des uns et des autres plus ou moins Ă©tonnantes. Dans une mise en scĂšne digne d’un cartoon de Tex Avery, les personnages agissent sans la moindre retenue dans ce milieu dĂ©nuĂ© du sens des rĂ©alitĂ©s jusqu’à ce qu’elles les rattrapent. Le sexe, l’argent, une gloire relative, ils ne sont jamais rassasiĂ©s, mĂȘme face au risque de passer une longue pĂ©riode en prison. Ils ont besoin de possĂ©der plus et plus encore comme une soif inextinguible de richesses et qu’importent les consĂ©quences. Si Martin Scorsese a une Ă©vidente fascination pour la part exubĂ©rante de ces criminels en col blanc, il n’élude pas la portĂ©e de leurs frasques et s’en moque joyeusement. Ayant lui-mĂȘme goĂ»tĂ© Ă  certaines substances illicites et connu une cĂ©lĂ©britĂ© Ă©crasante, Martin Scorsese peut ĂȘtre soupçonnĂ© d’avoir fait un portrait indirect de son activitĂ© hollywoodienne, un milieu qu’il n’a pas encore dĂ©peint, ce que son esprit mordant pourrait capter avec une certaine acuitĂ©. Depuis la dĂ©mocratisation du social trading, il est aujourd’hui possible d’effleurer l’euphorie et le stress du monde du trading illustrĂ© dans le Loup de Wall street, et ceux depuis son canapĂ©. Des sites comme Etoro et XTB dĂ©taillĂ©s sur offrent Ă  toutes individus la possibilitĂ© d’investir sur le cours des devises entre autre. La passion pour le rock’n’roll se reflĂšte comme toujours dans sa bande-son mais aussi dans l’esprit de cette histoire filmĂ©e avec une Ă©nergie rebelle qui dĂ©tonne non seulement dans un milieu plus corsetĂ© qu’il ne le laisse paraĂźtre mais aussi dans le cinĂ©ma de l’un des auteurs les plus influents de ces quarante derniĂšres annĂ©es. RĂ©sumĂ© Jeune septuagĂ©naire, le rĂ©alisateur de Mean Streets, Taxi Driver ou Raging Bull reste le seul rĂ©alisateur Ă  avoir pris son essor artistique dans les annĂ©es 70 Ă  possĂ©der encore un rĂ©el pouvoir Ă  Hollywood. Sa collaboration avec Leonardo di Caprio lui permet une visibilitĂ© auprĂšs des spectateurs et de connaĂźtre ses plus grands succĂšs populaires sans se dĂ©partir pour autant d’une rĂ©elle audace artistique. Avec ce qui est son plus long film trois heures Ă  toutes les montres, sa premiĂšre vraie comĂ©die et son film le plus sexuĂ©, il prouve qu’il peut encore se renouveler et nous surprendre. Maintenant, la question doit se poser Ă  nouveau de savoir quand aura lieu la rencontre de son boy wonder des annĂ©es 2000 avec celui des premiĂšres annĂ©es alias Robert de Niro ? [youtube]
Lefilm « Le Loup de Wall Street », rĂ©alisĂ© par Martin Scorsese est disponible en version HD en vostfr -version original sous-titrĂ©) ou vf (version française) sur des sites de streaming comme Netflix, Hulu et Amazon Prime. Vous pouvez Ă©galement le louer pour le voir temporairement sur d’autres services comme : iTunes, Vudu ou bien sur
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