Lesmeilleurs restaurants à Île d'Yeu Trier par : Note la plus élevée 1. le 09 599 avis Fermé à l'heure actuelle Fruits de mer & Poisson €€ - €€€ “Un déjeuner qui fait du bien” “De la très bonne cuisine sur l'île d'Yeu” 2. Snack Martin 435 avis

En surplomb de la plagette de Saint-Aubin, proche de la baie en croissant de Ker Chalon, le nouveau venu, à l'âme marine, chamboule la donne hôtelière de l'île d'Yeu, en à l'océan, la déco décline 50 nuances de bleu.© Gaelle Le BoulicautLe concept. Depuis des lustres, les familles islaises et les estivants s'attablaient au Flux » voire y dormaient. Vieillissant, il changea en 2020 de nom et de propriétaires. Avant, nouvelle révolution, de tomber, dans l'escarcelle des Domaines de Fontenille, collection de boutiques-hôtels de Guillaume Foucher et Frédéric Biousse. En deux temps trois mouvements, rebaptisé Les Hautes Mers », le seul hôtel islais ouvrant sur l'océan se para de codes insulaires, marins. Dix-sept chambres au grand large, un restaurant, un bar. Et, surprise, une annexe, sur le quai d'un des plus intimes et ravissants ports de France, La Meule, accessible en quelques coups de pédales, plus ou moins vigoureux, selon qu'on opte ou non pour une bicyclette électrique, à deux Hautes Mers reste le seul hôtel de l'île ouvrant sur l'océan.© Gaelle Le BoulicautLa déco. Cinquante nuances de bleu ou presque à l'identique de la mer, une flotte de voiliers traçant son sillage au plafond, Guillaume Foucher a projeté, entre les murs restructurés par Luc Brochard, architecte nantais, et l'agence 44 Avril, ses rêves d'enfant pataugeant dans les marouilles. Adulte désormais, le quadra sensible aux belles choses a réchauffé les pièces de tapis et rideaux Pierre Frey, appréciés les jours de noroît pour adoucir les morsures du vent. Les sculptures totem de Marie Bathellier, qui expose à Port-Joinville, à cinq minutes à pied de l'hôtel, ajoutent une note design sans prétention. Décor enveloppant, entre Jacques Tati et Pierre Loti sur des notes de intimiste, compte dix-sept chambres.© Gaelle Le BoulicautLe goût. Une table dedans-dehors, Vent Debout », avec au piano la cheffe Nawal Rezagui qui s'est emparée des produits de la mer et de la lande. Sa carte, courte, conte l'agneau de l'île, le bar de ligne, les grosses langoustines et les couteaux taillés en brunoise, relevés de gingembre et agacés de petits pois crus. Son mari pâtissier régale tout autant avec son dessert peu sucré mêlant yuzu, citron et bergamote. A la carte, compter 50 € environ. Au bar de La Meule, la carte oscille entre patagos spécialité de l'île, moules et Hautes Mers dominent la petite plage de Saint-Aubin.© Gaelle Le BoulicautLes chambres 17 au total. Chambre simple à partir de 180 €. 500 € pour la 15, la plus chère, en haute Luc Brochard et l'agence 44 Avril signent un établissement à l'esprit résolument marin.© Gaelle Le BoulicautC'est où Les Hautes Mers, 27, rue Pierre Henry, 85350 Ile d'Yeu. A six minutes à pied de Port-Joinville, débarcadère par un sentier côtier. A quinze minutes de l' restaurant Vent Debout » fait la part belle aux produits de la mer.© Gaelle Le Boulicaut
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Styles Fondatrice d'une maison d'édition destinée aux gourmands, Sabine Bucquet-Grenet a un faible pour l'île d'Yeu et ses fameux patagos, coquillages que l'on ne trouve que sur place. Mes parents sont tombés amoureux de l'île d'Yeu il y a plus de soixante ans. Mon père était pilote de chasse, nous étions obligés de déménager sans arrêt. Mes sœurs, mon frère et moi n'avions pas de maison familiale, pas de lieu fixe auquel nous rattacher. L'île d'Yeu, si belle, vivifiante et sauvage, est devenue ce point d'ancrage pour nous tous. Mes parents y ont d'abord fait du camping, puis nous avons dormi chez l'habitant et fini par acheter un terrain où nous avons peu à peu construit une maison et un garage. Aujourd'hui, le garage est devenu ma petite maison à moi. Mon premier souvenir d'Yeu remonte à mes 5 ans. A cette période où nous y allions plusieurs fois par an, nous louions une chambre chez un vieux couple à Saint-Sauveur, M. et Mme Ploquin. Lui était pêcheur indépendant, avec son petit bateau. Il pêchait au filet, au casier ; vendait ses poissons et crustacés au cul du bateau. Il faisait aussi de la menuiserie, le soir. Je me souviens qu'il fabriquait des paniers en bois appelés bassiots », et des piates », ces petites barcasses que les enfants traînent derrière eux sur le sable. J'ai passé beaucoup de temps en sa compagnie, à l'observer, à l'écouter. Il me racontait des histoires de l'île. Et sa femme nous préparait des patagos à sa façon. Ces coquillages, que l'on appelle aussi vénus ou Spisula ovalis et qui vivent dans les fonds sableux autour de l'île, ne se trouvent nulle part ailleurs ils sont rares et ne supportent pas le transport. Seuls trois bateaux islais sont autorisés à pêcher les patagos, en quantités très limitées, et seulement d'avril à octobre. Ce sont des mollusques bivalves qui ressemblent à des palourdes, mais à la coquille blanche et lisse et dont le corps rappelle celui des coques, bien iodé, charnu et tendre. C'est un délice dont je ne peux pas me passer. La recette classique est simplissime, avec du vin, de la crème, du persil... La plupart des Islais aiment leurs patagos ainsi, même si au Snack Martin de Port-Joinville, on les sert avec des sauces différentes. Mais, dans ma famille, nous les préparons toujours comme Mme Ploquin nous a appris avec de la chapelure. Renseignement pris, elle était la seule à les faire comme ça. Sans doute pour les rendre plus nourrissants, afin que son pêcheur de mari ne parte pas en mer le ventre creux. M. et Mme Ploquin sont morts maintenant, mais la recette est toujours là, bien vivante, chez nous. Je file à l'île d'Yeu le plus souvent possible. C'est un besoin vital pour moi, pour me poser, me ressourcer. Quand j'arrive, j'ouvre la maison, je sors ma Fiat 500 qui dort dans le salon, j'allume un feu de cheminée et je m'installe dans un fauteuil avec un bouquin et un verre de vin blanc. Et puis j'appelle la poissonnerie, ou Manuelo, le jeune pêcheur du Damoiseau un des trois bateaux autorisés pour commander mes patagos pour le lendemain. » Editions de l'Epure, Poissonnerie Hennequin, 3, quai Carnot, Port-Joinville, L'île-d'Yeu Vendée. Camille Labro Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
\n \n \npatagos de l ile d yeu
Lapêche professionnelle à l’Ile d’Yeu. La flottille islaise totalise 25 unités et 110 marins pêcheurs, 10 navires de pêche au large et 15 de petite pêche ou pêche côtière. La principale espèce débarquée est de très loin le merlu suivi par la lotte, le bar, la sole et le lieu jaune. Ces 5 espèces représentent plus de 85 % des Au large de Fromentine, l'île d'Yeu cultive son exotisme à elle, loin, très loin des parasols. Là, Bruno Verjus a posé son sac entre deux voyages et même écrit un livre pour nous dire son amour de l'île. Friand d'anecdotes, il nous invite à une redécouverte du héros d'Yeu, le poisson. Et se remet aux fournaux, le temps d'un dîner d'été. RecettesThon germon, brioche vendéenne Lire la recette >> Tarte des noces aux pruneaux Lire la recette >> Un livre de 45 histoires pour 45... recettesPassez le petit port lumineux de Port-Joinville et sa tradition thonière, serpentez dans les ruelles. Tombez nez à nez avec une rose trémière... Les maisons, basses pour se protéger du vent, ont des allures grecques blanches comme neige, égayées de volets bleus. Toutes les nuances sont là bleu lagon, bleuet, azur, acier, céleste, lavande... Au détour du chemin du Tchat-Tchat ou de la rue Calypso, vous pourriez croiser Bruno Verjus. Il aime les plages secrètes de l'île, elles conjuguent langues de sable et pitons granitiques. Quand il n'est pas à Yeu, il retrouve une autre île l'île Saint-Louis, à Paris. Mais Yeu reste le port d'attache favori de ce voyageur, qui l'arpente depuis son plus jeune âge. Et pour rendre hommage à son " patrimoine affectif et gourmand ", il publie D'Yeu que c'est bon !, le tour de l'île en 45 histoires et 45 recettes. On connaît plus la crêpe bretonne que les traditions culinaires oyennes ; pourtant, le livre refermé, on savoure l'héroïsme discret des lieux " Comment reconnaître à coup sûr un homard demoiselle d'un homard mâle ? " Histoires recueillies, anecdotes, récits-fictions, traits historiques, l'île se révèle par fragments, assortis d'une recette. Récits des rites des pêcheurs de langoustes, aux paumes écorchées par les belles, se serrant la pince au port de la Meule... Dans sa maison bordée de lavandes et de figuiers, l'auteur nous entrouvre les merveilles de ses côtes. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Direction forcément chez Hennequin..." Chez les poissons, plus de hiérarchie tous sont absolument merveilleux. " Nobles et modestes, ils sont réconciliés pour le meilleur. Poésie légendaire des étals de la poissonnerie Hennequin pageot rose, sébaste chèvre, sole perdrix, lingue franche, phycis de fond, raie bouclée, grondin perlon... Bruno Verjus revisite les classiques de l'île salade d'abras mâtinée de coriandre et de tomate de Marie-Anne la bergère-jardinière de l'île, tartine de foie de baudroie pochée au jus de merlu, grosses pinces de crabe tourteau de son ami Fernand, lotte cuite lentement à la braise, tarte des noces... Vite ! On tresse des couronnes de statices, les fleurs séchées de l'île. A table ! Ses plats s'inspirent aussi du " vert cristallin, mentholé " de l'océan roquette sauvage, petits pois, ou vert absinthe des morgates au pastis, risotto au fenouil. Parfois, l'île de Bruno prend des allures de gâteau - le sable de la plage des Corbeaux n'est-il pas " fin, brioché et gourmand " ? Les patagos ressemblent à des " bonbons à la crème sous le sable doré ". D'Yeu que c'est bon cuisine qu'on déguste les Yeux fermés... Sans hâte, on regagne le port, pour ne pas ressembler aux " mille-pattes ", ces visiteurs d'un jour qui débarquent sur le port par le bateau du matin. Si pour Victor Hugo " le rêve est l'aquarium de la nuit ", ce petit livre-promenade sera peut-être la crème glacée de nos plages. Parole d'oyat ! Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Uneile vendéenne balade estivale à l’Ile d’Yeu. 6 heures : le réveil sonne. Déjà ! Allez hop, debout, il faut vite se préparer, le bateau ne nous attendra pas. Après un petit déjeûner aussi copieux que d’habitude, direction le port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie où nous attend le bateau de la Compagnie Vendéenne pour un

19,00€ 29 en stock Affiche 30cm x 40cm Imaginé et imprimé en France – Impression offset Papier couché moderne satin PEFC 300g Description Infos Avis 0 Description Affiche 30cm x 40cm Imaginé et imprimé en France – Impression offset Papier couché moderne satin PEFC 300g Informations complémentaires Poids 70 g Dimensions 31 × 41 × ,5 cm Collection Île d'Yeu Description Description Affiche 30cm x 40cm Imaginé et imprimé en France – Impression offset Papier couché moderne satin PEFC 300g Infos Informations complémentaires Poids 70 g Dimensions 31 × 41 × ,5 cm Collection Île d'Yeu Avis 0

Ongoûte ainsi les patagos de l’île d’Yeu à l’émulsion de cèpes et persil, les tomates et cocos de paimpol au pesto, les ravioles de champignons anisés et escargots, le merlu des côtes bretonnes flanqué d’un risotto aux champignons avec mousse de céleri rave et jus de miso ou encore le lapin du Gâtinais à la bière et miel au maïs, pied de mouton et légumes racines.
Vous aimerez retrouver le restaurant où, l’année dernière, vous avez pu déguster les fameux patagos à la crème, mitonnés par l’un de nos chefs. Mais l’île d’Yeu a aussi une cuisine simple à vous proposer dans l’une de ses nombreuses adresses de Port-Joinville crêperies, snacks ou pizzérias. Port-Joinville est le chef-lieu de la commune. Lieu d'arrivée par le bateau, bordé de petits restaurants, cafés et commerces en tout genre, le port de Joinville est le lieu où Islais, vacanciers et excursionnistes se croisent et se retrouvent. Le matin, on apprécie le petit déjeuner en terrasse face au quai pour observer le port se réveiller doucement. Les soirs d'été, on découvre l'effervescence du port et ses soirées. L’ambiance est garantie, mais la notion de respect prime car le port a aussi besoin de se reposer pour, dès le lendemain, proposer un visage accueillant au nouvel arrivant.
Lile d’yeu, ou OYA pour les intimes, c’est un écrin de verdure, un lieu que l’on garderait bien secret et dont on tairait bien l’adresse au risque de perdre son petit coin de paradis. Mais en même temps, impossible de ne pas avoir envie de louer les trésors de cette petite ile. Cela fait deux ans maintenant que nous y embarquons, accompagnés de Céline et Simon et
6 heures le réveil sonne. Déjà ! Allez hop, debout, il faut vite se préparer, le bateau ne nous attendra un petit déjeûner aussi copieux que d’habitude, direction le port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie où nous attend le bateau de la Compagnie Vendéenne pour un départ à 7 h DE L’ÎLE D’YEUNous prenons la route, sous un ciel toujours couvert – la météo se serait-elle trompée ? – vers la citadelle qui accueillit de nombreux prisonniers d’état, dont le Maréchal Pétain. Ensuite la Pointe du But et là nous allons longer la côte par la route ou par le sentier côtier, superbe, qui nous offre des panoramas somptueux, avec une côte déchiquetée et les vagues qui viennent fouetter les direction la plage des Sabias avec ses ravissantes petites maisons de pêcheurs en bois Quelques maisons traditionnelles prises aussi en photo, j’adore ces petites maisons aux volets de couleur ; on trouve de tout d’ailleurs, les maisons construites récemment arborent plutôt des volets bleus, mais les maisons des iliens peuvent être en jaune, vert pâle, bleu avec des différences marquées entre les volets et les entourages d’ouvertures. C’est très amusant et avec le blanc lumineux de la chaux sur les mur, le rendu est vraiment agréable à l’oeil. Dommage que la photo ait été prise de trop loin, cliquez dessus, vous verrez le nom de la rue !Petit détail sur la fameuse tuile tige de botte », obligatoire sur les maisons à l’Ile d’Yeu. Il était midi passé quand nous sommes enfin arrivés au petit port de la Meule, une étape indispensable dans ce parcours tant le point de vue est somptueux, on le retrouve d’ailleurs sur toutes les cartes postales. D’abord la pause déjeûner Repas accompagné d’un petit rosé de Mareuil Marie du Fou », les Fiefs Vendéens, Domaine Mourat dont j’ai parlé il y a quelque temps ici. Dommage que les deux seuls petits restaurants du port de la Meule ne proposent pas de spécialités locales nous avons dû nous contenter d’une andouillette mogettes, moi qui avais fait la vie à tout le monde pour manger des patagos, ces fameux petits coquillages entre la palourde et le pignon, qu’on ne trouve plus guère qu’à l’Ile d’Yeu. Entre-temps, le soleil avait enfin percé les nuages et après le repas nous avons fait à pied le tour du port et de sa petite chapelle toute blanche, le temps de prendre quelques belles photos Après le port de la Meule, nous décidons de revenir en arrière pour aller au vieux Chateau, nous étions passés pas très loin en fin de quand même réussi à prendre en photo Monsieur le goéland qui faisait son capricieux et ne voulait pas que je l’ visite du Chateau terminée, nous coupons à travers l’Ile pour aller vers le bourg de Saint-Sauveur et retrouver la côte qui nous ramènera à notre point de départ de les chemins mènent à Rome… ou à Versailles ! Trop forte la fille, même en pédalant elle arrive à prendre en photo le chemin !Après avoir parcouru les chemins ombragés le long de la superbe forêt et de la plage nous sommes enfin arrivés à Port-Joinville, où règne une joyeuse animation de fin d’après-midi ; beaucoup de monde ausi à attendre le bateau du avons le temps d’aller faire quelques achats dans les boutiques, la poissonnerie où je voulais acheter des patagos avait été dévalisée, tant pis pour moi, je n’en ramènerai pas cette fois-ci….Thon fuméNotre journée est malheureusement terminée, il faut prendre le chemin du retour, à bientôt l’Ile d’Yeu, nous nous reverrons, mais la prochaine fois ce sera pour deux jours complets, car en une journée il est impossible de voir tous les trésors que cette très belle ile offre à ses l’arrivée à la maison, nous avons dégusté autour d’un apéro quelques toasts de terrine de seiche et pour le dessert, bien entendu, la fameuse tarte aux pruneaux, parfumée à la cannelle et avec la petite touche d’alcool qui revigore les marins !J’espère que ma balade vous aura séduits, à bientôt…
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